Hey ! Ça faisait longtemps hein ?!
Comment ça va ?
Je ne peux plus vous souhaiter une bonne année 2013, nous sommes déjà en février – bon sang on est déjà en février O_O – mais le cœur y est !
Je ne vais pas non plus vous faire l’argumentaire de mon absence. Je n’ai rien à dire. J’avais la flemme et trop de choses à gérer en même temps. Je me suis demandé si j’allais continuer, si tout ça en valait vraiment la peine parce que si ma passion pour la mode reste, entretenir ce blog m’intéresse moins – Oh my fucking god ! Mais qu’a-t-elle osé dire ?
Bref. J’ai réfléchi à un moyen de relancer le truc, de me redonner envie d’écrire sur la mode, sur mes créations, aller à des soirées, répondre aux mails toussa toussa…en prenant en compte le fait que je manquais cruellement du temps…Et je crois avoir trouvé !
Je crois que je vais tout changer ! Pas de suite parce que j’ai quelques publications qui attendent depuis trop longtemps. Mais après ça, je change tout ! Que ce soit le style de Mouche à Mode que son semblant de ligne éditoriale. J’espère que vous suivrez et sinon merci d’avoir tenu jusque là.
(Heureusement qu’elle a dit qu’elle n’argumenterai pas sur son absence…)
Du coup, on enchaîne ! On continue ! Re-bienvenue !
Pour l’anniversaire de la marque Little Bacon, j’ai eu la chance de défilé à LIMA avec une blog-pote Olivia de Daily Women.
Stéphanie, la créatrice de la marque, y présentait sa nouvelle collection « Electrees ». Ce que j’aime beaucoup avec des créatrices comme Stéphanie c’est que ses pièces ne sont pas faites juste parce qu’elles suivent une tendance. Chaque collection porte des messages, une histoire et un fil rouge qui se renouvèle à chaque ligne. Elle me rappelle tous ces jeunes créateurs que j’ai eu l’occasion de rencontrer au cours de mes périples à Paris. Des créateurs ultra-pointilleux, qui donnent du sens à chaque détails d’une pièce, de la chaîne d’un sautoir à la couleur du fil d’un short.
La collection « Electrees » est une ligne hors-saison, que l’on pourrait porter hiver comme été. On y retrouve des basiques détournés fluide et léger comme des pièces plus structurées . Une ligne bipolaire : l’électricité se mêle au vent, l’artificielle lutte contre le naturel.
Sous le chapiteau, je me suis retrouvée à défiler dans un genre d’uniforme militaire de la forêt armée d’une pochette Bleu Ardoise et coiffé d’une petite chapka Menou. J’avoue que j’tire un peu la gueule sur les photos mais en vrai j’étais malade comme un chien et super impressionnée par toutes les bombasses qui m’entouraient >.<
Alors on oublie ma gueule et on mate les fringues 😀
Crédits photo : Anne-Sophie Annese, Studio Bohème